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LES SORTS PROFANES
LES SORTS PROFANES Imprimer
Écrit par Jaffar   
Mardi, 10 Juillet 2012 13:54

Les sorts profanes.

Magiciens, ensorceleurs et bardes font appel à la magie profane, qui leur permet de manipuler directement l’énergie magique. Ses manifestations sont souvent plus spectaculaires que celles de la magie divine.

 

Préparation des sorts de magicien.

Le niveau du magicien limite le nombre de sorts qu’il est capable de préparer et de lancer, mais sa valeur d’Intelligence élevée peut lui permettre d’en préparer quelques-uns de plus. Il peut choisir le même sort à plusieurs reprises, mais cela est alors déduit de son total. Pour pouvoir préparer un sort, le magicien doit avoir une valeur d’Intelligence au moins égale à 10 + le niveau du sort.

Le repos.

Le magicien ne peut préparer ses sorts qu’après 8 heures de sommeil. Il n’est pas obligé de dormir durant tout ce temps, mais il doit au moins se reposer (déplacement, combat, incantation, utilisation de compétence, conversation et autres tâches un tant soit peu fatigantes lui sont interdits). Si le repos du magicien est interrompu, il lui faut par la suite dormir 1 heure supplémentaire par interruption (de plus, il doit s’être reposé au moins 1 heure juste avant de s’attaquer à la préparation de ses sorts). Même si le personnage n’éprouve jamais le besoin de dormir, il doit tout de même se reposer.

Sorts jetés durant la période de repos.

Si un magicien a lancé des sorts récemment, la fatigue mentale qu’il ressent diminue sa capacité à préparer de nouveaux sorts. Quand il prépare ses nouveaux sorts le matin venu, tous ceux qu’il a jetés au cours des 8 dernières heures viennent en déduction de son quota.

Conditions de préparation.

Pour pouvoir préparer un sort, le magicien doit bénéficier de suffisamment de calme et de confort pour que sa concentration soit optimale. Il n’a pas besoin de se trouver dans un endroit luxueux, mais il lui faut éviter toute distraction (combat à proximité, bruits importants, etc.). Il lui est également impossible de se concentrer s’il est exposé aux intempéries, s’il subit des dégâts ou s’il rate un jet de sauvegarde. Il ne peut pas préparer le moindre sort s’il n’a pas son grimoire ou si la lumière ambiante ne lui permet pas de lire. Il n’existe qu’une seule exception à cette règle : lecture de la magie, qui peut se préparer même sans grimoire.

Temps de préparation.

Après s’être reposé, le magicien doit consulter son grimoire pour préparer les sorts qui l’intéressent. Cela lui prend 1 heure pour préparer l’intégralité des sorts auxquels il a droit. S’il décide de n’en apprendre qu’une partie, le temps nécessaire est réduit en conséquence, mais il ne peut en aucun cas descendre en dessous de 15 minutes, minimum requis pour se mettre dans l’état d’esprit nécessaire à la préparation des sorts.

Sélection des sorts.

Tant que le magicien ne prépare pas de sorts, il ne peut lancer que ceux qu’il a préparés précédemment (généralement la veille) et qu’il n’a pas utilisés. S’il lui reste des sorts qu’il n’a pas encore jetés, il peut les abandonner pour en choisir de nouveaux.

Lorsqu’il prépare ses sorts, le magicien peut décider de laisser des emplacements de sorts « vierges », c’est-à-dire des sorts non déterminés. Dans le courant de la journée, il peut recommencer sa préparation aussi souvent qu’il le désire pour remplir ces blancs. Par contre, il lui est impossible d’abandonner un sort au profit d’un autre ou d’utiliser l’emplacement d’un sort qu’il a déjà jeté depuis le début de la journée. Pour ce faire, il doit être frais et dispos, c’est-à-dire avoir bénéficié de ses 8 heures de repos. Tout comme la séance du matin, la préparation supplémentaire exige au moins 15 minutes, voire plus si le personnage avait laissé vierge plus du quart de son quota.

Emplacements de sorts.

Les tables des classes de personnage indiquent combien de sorts de chaque niveau le personnage peut jeter en une journée. Il est toujours possible d’utiliser un emplacement de sort de haut niveau pour un sort de plus bas niveau. Notez qu’un mage à l’Intelligence trop basse pour lancer des sorts de tous les niveaux à sa disposition bénéficie tout de même des emplacements de sorts correspondants, mais il doit les utiliser pour des sorts de niveaux inférieurs.

Rétention des sorts préparés.

Une fois le sort préparé, le magicien le garde en mémoire jusqu’à ce qu’il le lance ou décide de l’abandonner en faveur d’un autre. Certains objets magiques et pouvoirs spéciaux de monstres peuvent effacer les sorts de l’esprit d’un magicien.

Mort et rétention des sorts.

Si le personnage meurt, tous les sorts qu’il avait en mémoire s’effacent automatiquement. Des sorts particulièrement puissants (tels que rappel à la vie, résurrection ou résurrection suprême) permettent de récupérer l’énergie magique en même temps que l’âme du défunt.

 

 

Écrits de magie profane.

Pour coucher un sort sur le papier, le magicien utilise des symboles complexes représentant les forces magiques invoquées par l’incantation. Tous ont recours au même « alphabet » ésotérique, et ce quelle que soit leur langue natale. Cela étant, chacun l’utilise à sa façon, de sorte que même le plus puissant archimage doit prendre le temps de déchiffrer les inscriptions magiques d’un autre magicien.

Pour déchiffrer une incantation de magie profane, il faut réussir un test de Compréhension des Sorts. En cas d’échec, le personnage ne peut renouveler sa tentative qu'après avoir acquis un niveau supplémentaire, en supposant qu'il est encore accès au sort.. Lecture de la magie déchiffre automatiquement un texte magique, sans qu’un test de compétence soit nécessaire. Si la personne qui a rédigé le texte est présente et assiste le lecteur, le succès est, là aussi, garanti.

Une fois le document magique déchiffré, sa compréhension est définitivement acquise. C’est un peu comme résoudre une énigme : une fois la solution connue, la retrouver ne pose plus de problème. Quand le texte est compris, le magicien identifie le sort et obtient une idée plus ou moins précise de ses effets (détaillés dans la description). Si le texte est rédigé sur un parchemin et si le lecteur est adepte de la magie profane, il peut tenter d’utiliser le sort du parchemin.

 

 

Emprunt de grimoire.

Un magicien peut utiliser un autre grimoire que le sien pour préparer une incantation qu’il connaît (et qui se trouve dans son propre grimoire), mais le succès n’est pas assuré. Pour commencer, il doit déchiffrer le texte (voir Écrits de magie profane, ci-dessus). Puis, il doit effectuer un test d'Intelligence. En cas de succès, il peut préparer l’incantation comme il se doit. À chaque nouvelle préparation, il lui faut refaire le test d'Intelligence, même s’il a déjà utilisé ce grimoire pour le préparer. En cas d’échec, il doit attendre le lendemain avant de tenter à nouveau de préparer le sort à partir de ce grimoire bien précis (mais, comme indiqué ci-dessus, il n’a pas besoin de déchiffrer le texte de nouveau).

 

 

Ajout de sorts au grimoire.

Les magiciens disposent de plusieurs méthodes pour ajouter de nouveaux sorts à leur grimoire. Ceux qui ont choisi de se spécialiser dans une école de magie n’ont accès qu’aux sorts autorisés.

Sorts acquis en montant de niveau.

Les magiciens se livrent à de nombreuses recherches entre leurs aventures. Chaque fois que l’un d’eux gagne un niveau, il choisit deux nouveaux sorts (son niveau doit toutefois lui permettre de les lancer), qu’il peut ajouter à son grimoire. S’il a choisi de se spécialiser dans une école de magie, l’un de ces sorts doit être issu de cette école. De plus, les sorts choisis doivent être des sorts communs.

Sorts copiés à partir d’un parchemin ou d’un autre grimoire.

Il est possible d’augmenter son répertoire de sorts lorsque l’on obtient un parchemin de magie profane ou le grimoire d’un autre magicien. Quelle que soit la source du sort, le personnage doit commencer par le déchiffrer (voir Écrits de magie profane, ci-dessus), après quoi il lui faut passer une journée entière à étudier le sort. S’il est spécialisé dans une école, il bénéficie d’un bonus au jet de dé pour tout sort faisant partie de son école de prédilection. En contrepartie, il est incapable d’apprendre les sorts des écoles de magie interdites par la sienne.

En cas de succès, le magicien comprend la formule et peut la recopier dans son livre de sorts (voir Copie des nouveaux sorts, ci-dessous). Si le sort provenait d’un autre grimoire, celui-ci ne pâtit pas de l’opération ; par contre, s’il était rédigé sur un parchemin, ce dernier s’efface quand le sort est recopié.

En cas d’échec, le magicien est incapable de comprendre le sort. Il ne peut pas réessayer de l’apprendre (même à partir d’une autre source) avant d’avoir amélioré sa compétence d’Art de la magie. La copie ne se fait pas et le parchemin magique ne s’efface pas.

En général, les magiciens font payer le privilège de copier des sorts depuis leur grimoire. Ce coût est le plus souvent égal à 50 po x niveau du sort.

Recherche indépendante. Le magicien a la possibilité d’effectuer des recherches de son côté pour trouver un sort existant ou, au contraire, pour en inventer un de son cru.

 

Copie des nouveaux sorts.

Lorsque le magicien a compris un nouveau sort, il peut le recopier dans son grimoire.

Temps nécessaire: la copie exige 24 heures, quel que soit le niveau du sort.
Espace requis: Un sort prend 1 page par niveau. Un grimoire comprend 100 pages.
Coût du matériel: Le nécessaire à écrire (plume, encre et autres) coûte 100 po par page.

À noter que le magicien n’a pas besoin d’acquitter ce coût (ni de passer le temps exigé) pour les sorts qu’il gagne en montant de niveau. Ils font partie intégrante de ses recherches.

Remplacement et copie des grimoires.

Un magicien peut suivre la procédure d’apprentissage des sorts pour reconstituer un grimoire perdu. Les sorts qu’il a encore en mémoire peuvent être recopiées directement, au coût de 100 po la page (comme indiqué dans Copie des nouveaux sorts, ci-dessus). Les sorts s’effacent aussitôt de son esprit, comme s’il les avait lancés. Dans le cas où il n’a pas préparé le sort, il peut le faire à partir d’un grimoire emprunté (voir ci-dessus), après quoi il n’a plus qu’à le coucher sur le papier.

La procédure est la même lorsque l’on cherche à recopier un grimoire existant, si ce n’est qu’elle s’avère bien plus facile. En conséquence, le temps requis et le coût par page sont réduits de moitié.

Vente des grimoires.

Les grimoires trouvés au fil des aventures peuvent être vendus contre un nombre de pièces d’or égal à la moitié du coût d’achat et d’écriture des sorts qu’il renferme (50 po par page). Un grimoire dont les cent pages sont pleines vaut donc 5 000 po.

Mise à jour le Mercredi, 11 Juillet 2012 11:54