La maison du commissaire

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" Chère mère,

Nos troupes se sont repliées dans la zone située à l'Est du complexe Barrikady. Nous avons transformé les immeubles en véritable forteresse, les allemands vont avoir une désagréable surprise. Je me tiens dans la maison de Pavlov avec mes camarades et nous avons ordre de ne pas reculer d'un pas. La bataille de Stalingrad doit prendre fin ici.

Depuis ma position, j'aperçois nos T34 prendre position. Nous avons même reçu l'appui d'un redoutable KV1. Les orgues commencent à jouer leur sérénade, la bataille commence.

Je t'embrasse.

Ton fils aimant"

La carte et le déploiement initial

La bataille

Les panzer-grenadiers allemands sont épuisés par les combats de la journée précédente et ils savent qu'ils doivent rapidement prendre les objectifs au centre de la carte. Ils comptent à l'évidence sur la mobilité de leurs blindés et leurs automitrailleuses pour prendre les russes de vitesse. ils en sont malheureusement pour leurs frais. Ils découvrent avec stupeur que les russes ont établis une très puissante ligne de défense. Des pièces d'artilleries couvrent les principaux axes de progression et des T-34 ainsi qu'un KV1 assurent un appui blindé.

Les allemands engagent la bataille. Des obus de 105 pleuvent sur les positions russes. De nombreux soldats sont démoralisés par le tir des nebelwefers mais ils tiennent leurs positions. Si les conscrits russes sont facilement démoralisables, ils se rallient très vite grâce à leur moral "déterminé". Les allemands vont devoir livrer un combat meurtrier dans les ruines.

Côté blindé, les allemands ont aussi à la peine. En effet, les T-34 sont en embuscade, prêts à attaquer à la moindre erreur. Focalisés sur les chars russes, les allemands oublient la dotation régimentaire des troupes russes: des fusils antichars. S'ils se sont révélés inefficaces en début de campagne, les fusils antichars coûtent chers aux allemands: ils perdent rapidement une automitrailleuse et un panzer III.

Les stugs s'avancent pour déloger l'infanterie mais ils sont pris à partie par les blindés russes. Cette fois, les russes font jeu égal avec les allemands. Trois T-34 sont détruits pour 2 stugs, plusieurs Sdkfz, et les automitrailleuses.

Les orgues de Staline calment les ardeurs de l'infanterie allemande, sans pour autant stopper leur progression.  Les soldats du fürher découvrent aussi la nouvelle dotation des compagnies d'infanterie russe: la HMG PM-1910.

Les pertes s'accumulent dans les deux camps mais une contre-charge russe, sur l'ensemble du front, permet aux soviétiques de s'emparer des objectifs de prendre de capturer les objectif: la victoire est russe.

Conclusion

C’était vraiment une partie intéressante et la nouvelle règle est vraiment bien. Des points sont clarifiés et les russes sont moins handicapés qu’avant. Leur manque d’équipement est, dans cette version, compensé par leur moral. La règle de vague d’assaut russe a été une mauvaise surprise pour les troupes allemandes et j’ai aussi beaucoup aimé voir la tête d’Olivier quand il a vu mes chars se déployer. Il ne s’y attendait pas, un élément de surprise qui a clairement jouée en ma faveur.

Oll a mis en ligne son résumé et d'autres photos: imagifig/blitzkrieg